L’ONU (Organisation des Nations-Unies), l’UA (Union africaine) et la France ont récemment diffusé des appels publics pour une suspension des hostilités dans la région de Gaza – où il y a présentement un conflit opposant Israël et le Hamas palestinien –.

En effet, ces appels ont été lancés après un Sommet pour la paix organisé au Caire – Égypte –, puis dans les déclarations d’Élisabeth BORNE – Première ministre française – et d’Antonio GUTERRES – Secrétaire Général de l’ONU –.

Ce dimanche 22 Octobre, à l’issue du Sommet pour la paix organisé dans la Capitale égyptienne, l’UA a exprimé sa profonde préoccupation quant à la situation à Gaza. En appelant à un cessez-le-feu immédiat, l’UA a exhorté les parties concernées à s’engager dans un dialogue constructif et a insisté sur le rôle crucial de la Communauté internationale pour mettre fin à la violence.

Également, la France a, pour sa part, évolué sa position en appelant à un cessez-le-feu immédiat. Jusqu’alors, le cessez-le-feu était principalement revendiqué par les Partis de Gauche, notamment La France Insoumise de Jean-Luc MÉLENCHON. La situation humanitaire à Gaza demeure critique, avec des millions de personnes privées d’électricité, d’eau et de nourriture et ce, en dépit de l’arrivée des premiers convois d’aide humanitaire.

Antonio GUTERRES, le Secrétaire général de l’ONU, a qualifié la situation de « cauchemar » mais également a appelé à un cessez-le-feu immédiat. Malgré ces appels internationaux et les efforts diplomatiques continus de plusieurs pays dont les États-Unis d’Amérique, l’Égypte et la Russie, un accord n’a toujours pas été trouvé.

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