Cité Mixta – Insolite : “Séquestration et viols“ au péril d’un homme, par une bande de “masseuses“

Cité Mixta – un quartier de Dakar – encore citée dans  une affaire de séquestration, de chantage et viols : bref une affaire sordide ! En effet, la présumée victime, un tailleur du nom de “M. Nd“ qui aurait été enfermé contre son gré et violé par une bande de masseuses. 

 

“L’Observateur“, qui a relayé l’info dans sa parution de ce lundi, a renseigné que tout a commencé mardi dernier, aux environs de 19h. Cet après–midi, les hommes du Commissaire Mountakha Khouma ont reçu la visite du jeune homme qui, à vu d’oeil, présentait des blessures apparentes au niveau de son visage et était visiblement traumatisé.

Après une petite hésitation, le tailleur a raconté sa mésaventure, un récit qui glace le cœur !

« Sentant une fatigue générale, j’ai décidé de me faire masser pour retrouver la forme. Ainsi, à travers Facebook, j’ai appris qu’un salon de massage, sis à la Cité Mixta, propose des offres à portée de prix. J’ai alors appelé sur le numéro de téléphone trouvé sur l’annonce. Une jeune fille m’a répondu ! Elle m’a révélé que le massage simple se fait à 5.000 francs CFA et le massage général à 10.000 francs CFA. Avant de raccrocher, elle m’a donné un rendez–vous fixé le mardi ».

Dans la lancée, le plaignant a ainsi renchéri : « Le jour–J, après avoir pris mon repas à 14h, j’ai pris la direction du salon de massage. J’y suis arrivé à 14h3omn. A ma grande surprise, dès que la porte m’a été ouverte, je suis tombé sur un groupe de 4 filles qui discutaient avec 5 jeunes hommes. Jugeant suspecte la présence des hommes, j’ai commencé à avoir des appréhensions sur la bonne foi des masseuses. Très prudent, j’ai décidé de me retirer du salon. Cependant, la maîtresse des lieux s’y est opposée ».

Donc, à l’en croire, la propriétaire des lieux lui a clairement dit que toute personne qui entre dans son salon, n’y sortira pas sans se faire masser…

« Avant même que je ne place un mot, elle a sommé les hommes de me retenir. Ces derniers qui ont obtempéré séance tenante, m’ont encerclé. Puis, ils m’ont instruit de coucher avec une fille. Je voulais refuser, mais ils m’ont déshabillé sur le champ. N’ayant pas le choix, j’ai accepté de coucher avec la fille en question. Au moment où je faisais des rapports avec celle–ci, sa patronne nous filmait avec ses téléphones portables. Elle m’avait dit que je sortirais du salon après avoir éjaculé ! »

Selon le tailleur, il est passé à la casserole de 15h à 19h, avant d’être dépouillé de ses 10.000 francs CFA.

«  C’est ainsi que j’ai pris mon courage à deux mains pour les dénoncer, parce que je ne veux pas qu’un autre homme fasse partie de leur victime… », atil assuré !

N’en croyant pas leurs oreilles, les limiers se sont vite rendus sur les lieux, en compagnie de la présumée victime.

Une perquisition effectuée dans le salon a permis aux policiers de mettre la main sur 20 téléphones portables où étaient insérés les puces des numéros de téléphone diffusés dans les annonces, des objets contenant du produit lubrifiant et un important lot de préservatifs.

Selon la même source , ces  « preuves à charge » ont été placées sous scellés. L’enquête a révélé que la proxénète, “M.D.“ avait loué ce local et faisait travailler les jeunes filles, ainsi que les jeunes hommes. Elle utilisait le massage comme couverture, pour mieux dérouler ses activités délictuelles.

Au demeurant, la proxénète, qui avait déjà envoyé la vidéo pornographique à un autre individu, a été inculpée de « viols, séquestration, chantage à des fins sexuelles, violences, voies de fait et collecte de données à caractère pornographique ».

Quant à ses camarades d’infortune, ils sont poursuivis pour « complicité ». Cependant, ils n’ont pas encore été fixés sur leur sort.

 

 

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