« Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs » (,)La virgule qui sauva le Sénégal
Et si l’histoire du Sénégal m’était contée ainsi vers les années 2030 après que le monde ait frôlé une éventuelle troisième guerre mondiale ? Et si cette virgule omise d’être mentionnée dans l’Article 27 de la révision constitutionnelle du Sénégal s’avérait être salvatrice pour le peuple ?! Cet Alinéa qui stipule que « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs » (,).
Depuis plusieurs années, tout tourne autour de cette citation de l’Alinéa 2 de cet article 27 révisé dans la Constitution et qui a mis branle-bas l’échiquier politique du Sénégal. Une Constitution écrite par la main des hommes et qui toutefois n’y a pas apporté la petite virgule qui mentionne et précise si le premier mandat effectué par le Président Macky Sall fait ou non partie de cet Alinéa 2, puisque toute la polémique politique réside à ce niveau.
Aux hommes, leurs lois révocables. À Dieu, Son Plan Irrévocable.
J’ai toujours été accrochée par cette partie du « Verset Kursiy 255 » de la Parole Divine dans la Sourate BAKARA du Coran qui dit : « Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n’embrassent que ce qu’Il veut. Son Trône «Kursiy», déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand. »
De cette Parole Divine qui prédestine toutes vies, je me demande est-ce que Dieu dans Son Plan Irrévocable n’est-Il pas en train d’agir en faveur du Sénégal avec cette question de troisième mandat ?
Car, au moment où une partie de la population sénégalaise (classe politique et civile) est penchée sur cette question de troisième mandat, au même moment, le monde y compris notre pays le Sénégal, est actuellement en rain de vivre une crise économique sans précédent. Tout clignote au rouge à tous les niveaux et dans tous les secteurs, que ça soit politique, militaire, économique et social. Des foyers de tensions dans beaucoup de pays avec par-ci des guerres civiles, par-là des putschs et coups d’Etat, des attentats, des attaques et crises de tout genre sans compter la crise environnementale et climatique que traverse le monde.
(1) – D’abord, nous avons vécu cette pandémie de Covid-19 qui a tellement fragilisé les ressources humaines et financières que, jusqu’à présent certains pays même les hyper développés ont du mal à s’en sortir. Et Dieu MERCI, au Sénégal, malgré nos maigres ressources, malgré le fait que nous ayons aussi perdu en vie humaine de chers concitoyens (paix à leur âme), et vécu la crise de mars qui a bousculé la stabilité sociale, notre pays a su vaille que vaille naviguer sur les toutes eaux troubles que cette crise sanitaire mondiale a engendrées. Pour cela, rendons encore sincèrement Grâce à Dieu de nous avoir permis de surmonter cette douloureuse traversée, avec plus de peur que de mal.
(2) – Ensuite, vient s’ajouter à cette crise sanitaire mondiale, de nouvelles crises géostratégiques. Au moment où j’écris ces lignes, qu’ils nous le disent ou pas, tous les chefs d’Etat et élites occidentaux vivent actuellement une situation de panique et de peur pour leurs populations. Le tableau de bord économique, social, politique et environnemental de l’Occident n’est plus du tout à son apogée. Les courbes déclinent un peu partout surtout avec cette guerre en Ukraine et l’avancée en puissance de la Chine et d’autres pays émergents. Face à cela, l’Occident est entrain de chercher toutes les solutions possibles pouvant régler ses propres crises internes et préserver sa souveraineté sur l’échiquier international.
Principalement, cette guerre russo-Ukrainienne a davantage exposé et enfoncé les pays occidentaux dans une situation militaire mais surtout économique et énergétique sans précédent dont les répercussions sont retentissantes jusque dans les pays sous développés notamment en Afrique où les denrées alimentaires et les ressources de souveraineté se font de plus en plus inaccessibles avec la cherté de la vie.
Après nous avoir permis de surmonter de manière humblement résiliente la pandémie de Covid-19, ENCORE UNE FOIS, face à cette nouvelle crise économique, Dieu, toujours dans Son Plan Irrévocable, est entrain de montrer les voies et moyens aux autorités de notre pays, (acteurs administratifs et opérateurs économiques), pour trouver des solutions salvatrices pouvant alléger le quotidien des concitoyens sénégalais, à travers des mesures nécessaires qui régulent et contrôlent la cherté de la vie et les prix de premières nécessités.
MERCI ENCORE à Dieu pour cette assistance. Encore une fois, toute la Gratitude LUI revient.
Dans quinze (15) mois, précisément en février 2024, le Sénégal ira aux nouvelles élections présidentielles. Mais, avant cette échéance, la classe politique et civile divisée sur cette question de troisième mandat doit, à mon humble avis, se pencher une bonne fois pour toute sur cette citation de l’Alinéa2 de l’Article 27 de la révision constitutionnelle: « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », et qui fait polémique. Car, il faut que l’on tranche au plus vite ce débat sur le troisième mandat. Il est du devoir de tous les concitoyens de purger complètement cet Alinéa 2 de l’Article 27 de la révision constitutionnelle de toute incompréhension et ce, avant même le lancement de la campagne électorale. Il y va de la stabilité politique et sociale du pays.
Et également, il serait mieux que tous les membres du nouveau gouvernement en tant que citoyens d’abord, se prononcent déjà sur cette question sans faux fuyant. Afin d’éviter toute crise supplémentaire au pays après ce qu’il est entrain de vivre actuellement, surtout dans cette situation de crise mondiale.
Il faut que l’on sache que le peuple sénégalais, malgré son brouhaha politique, est un peuple mature et compréhensif et surtout épris de paix. Il suffit de lui donner des arguments tangibles, clairs et précis pour qu’il accepte avec sérénité et clairvoyance ce qu’on lui propose.
Et surtout quand on sait que, ce peuple est avant tout un peuple de Foi, où la religion irrigue nos cœurs à travers nos toutes nos appartenances confrériques musulmanes, catholiques, chrétiennes et juives. Partout, c’est la ferveur religieuse qui prédomine avant tout. Pour preuve, avant-hier, les 7 et 8 octobre, à travers tout le territoire national, nous avons célébré le MAOULOUD c’est-à-dire la naissance du Prophète Muhammad Rassoul lilahi et dans deux (2) mois c’est-à-dire le 25 décembre 2022, nous allons célébrer la NATIVITÉ c’est-à-dire la naissance du Saint-Esprit Jésus Christ. Et vous pensez que Dieu dans Toute l’Adoration que le peuple sénégalais Lui voue n’Agira pas en sa faveur dans Son Plan Irrévocable ? En tant que croyante, je pense que si. Surtout avec tous ces illustres fils spirituels qui sont couchés sur ce sol et qui incontestablement, tous les citoyens reconnaissent et témoignent en eux leur culte irréprochable voué à Dieu. De toute leur vie, ils ont tous plaidé en faveur de la stabilité du peuple sénégalais à travers leurs invocations et ont également toujours intercédé auprès de Dieu pour Ses Bienfaits à toute la nation.
Certes nous sommes un pays pauvre, mais nous avons toujours su rester dignes, résilients et surtout solidaires à travers le dialogue, la fraternité et la solidarité dans n’importe quelle situation. Ce qui constitue un atout inestimable pour notre nation, à l’opposé d’autres pays qui pour un rien sombrent dans le chaos avec des coups d’Etat et guerres civiles.
Encore une fois – Rendons Grâce à Dieu pour Son Plan pour le Sénégal. Et revenons à cet Alinéa 2 de l’Article 27 de la révision constitutionnelle.
A mon humble avis, au lieu de rentrer dans une crise de tranchée où d’aucuns tentent de dessiner sur la destinée du Sénégal un avenir chaotique, il serait préférable pour cette question de troisième mandat, que l’ENSEMBLE de la classe politique, la société civile et religieuse et surtout les jeunes « QUI SONT POUR » se lèvent tous comme UN SEUL HOMME avec UNE SEULE VOIX CLAIRE pour apporter une justification non pas politique mais juridique et (surtout) une justification ÉCONOMIQUE et SOCIALE pour que les sénégalais puissent comprendre toute la portée et toutes les motivations réelles de « CEUX QUI SONT POUR UN TROISIÈME MANDAT » qui pour eux, est juridiquement un « deuxième » et non un « troisième » pour le Président Macky Sall.
Pour ma part, comme j’aime lire les signes de la vie à travers le Plan de Dieu. En me référant à cette partie du verset 255 de la Sourate BAKARA, je me demande à travers ce verset si Dieu dans toute Sa Décision Contraignante et Son Plan Irrévocable, n’est-il pas encore une fois entrain de faire de cette virgule omise dans cette révision Constitutionnelle et qui fait polémique, un acte Salutaire pour notre pays le Sénégal ?
En voulant élire un nouveau Président de la République dans les 15 mois à venir, vu la crise géostratégique sous régionale et mondiale, le pays ne serait-il pas exposé à toutes les failles que vivent nos voisins actuellement? Tout changement de régime dans cette situation de crise économique ne serait-il pas fatal pour notre cher Sénégal?
Pour ma part, à mon âme et conscience, en tant que Citoyenne, après avoir analysé consciencieusement cette crise économique mondiale qui n’a pas encore accouché de toutes ses horreurs et blessures, si elle réellement, elle doit impacter de manière néfaste la vie de mes concitoyens avec un nouveau régime en place dont on ne connaît pas encore les plans puisque n’ayant pas encore exercé le pouvoir, et cette classe politique sénégalaise complètement divisée et instable sans ses coalitions, je préfère de loin, voir le Président Macky Sall rester encore pour cinq (5) années de plus au pouvoir pour terminer ses grands projets tout en ayant à ses côtés toutes les femmes et tous les hommes et la jeunesse (acteurs politiques, économiques, civils, religieux et militaires) de ce pays ainsi que les partenaires étrangers « tous soucieux» des lendemains du monde, et qui sont prêts à aider notre pays à traverser doucement et sereinement toutes ces crises qui secouent le monde, à savoir la guerre russo-ukrainienne, l’intimidation à travers l’éventuelle utilisation de l’arme nucléaire, l’intimidation à travers le lancement de missiles balistiques, ainsi que le changement climatique et environnemental agricole qui sévit partout etc. et surtout cette situation politico-militaire sous régionale de putsch et coups d’Etat, qui prévaut chez nos peuples frères du Mali, en Guinée, au Burkina et dans la plupart des régions africaines.
Pour tous les concitoyens qui sont réellement « conscients et alertes » de tous les impacts de ces crises sur la vie des populations, pour tous les fils et filles de ce pays, épris de paix, de justice sociale mais surtout « soucieux de protéger ce qui nous est cher c’est-à-dire le Sénégal » – il serait mieux indiqué qu’ils s’unissent ENSEMBLE POUR L’AVENIR DU PEUPLE.
Car, au vu du dessein que Dieu a tracé pour toute destinée, cinq (5) années dans la vie d’un pays, ce n’est pas long. Et la patience est la meilleure des vertus, car Dieu dans Sa Décision Irrévocable a déjà cité dans Son Livre Céleste celui ou celle qui succédera au Président Macky Sall.
Donc, il ne s’agit pas coûte que coûte de changer de régime au pouvoir qui est le plus important mais il s’agit d’agir pour ce qui est salutaire pour le pays. Et ce plein potentiel revient de droit à Dieu qui, au moment opportun Voudrait choisir qui Lui Plaira pour conduire la gestion publique du Sénégal. Et LUI SEUL Sait quand cette date est la mieux indiquée pour nous. Cela pourrait être en 2024 si le Président (par Injonction Permission de Dieu) décidait de se retirer à la fin de son actuel mandat que d’aucuns considèrent comme le dernier et d’autres le premier selon l’angle sous lequel est lu la révision constitutionnelle de l’Article 27.
Mais qui d’autre a le dernier mot si ce n’est notre Créateur – le Chef Suprême de toute autorité terrestre et céleste?
Ainsi, pour paraphraser Sa Parole dans ce verset 255 de la Sourate BAKARA que j’aime tant – je dirais : « Qui peut intercéder en faveur du peuple sénégalais sans Sa Permission ? Il Connaît le passé du Sénégal et son futur. Et de Sa Science, Il Embrassera au moment opportun, le cœur du citoyen sénégalais ou de la citoyenne sénégalaise qu’Il Jugera apte à succéder au Président Macky Sall.» Et aucune loi et ni aucune manœuvre politique ne changera en rien Sa Décision Contraignante et Son Plan Irrévocable. Car, IL Sait ce qui est mieux pour le peuple sénégalais. Et Il est le Très Haut, le Très Grand ».
Si cette virgule omise d’être mentionnée dans la Constitution révisée est celle qui, dans le Plan Céleste de Dieu, protègera et sauvera le Sénégal des affres et des horreurs de la crise qui se profilent en Occident et dans la sous région et qui ont commencé à impacter nos vies – Oui Seigneur! Oui – pour le troisième mandat salvateur ! Je préfère voir mon cher pays dans une stabilité sociale et économique plutôt que dans une crise politique locale où le leadership de la classe politique n’est pas si convaincant à cause des clivages, et surtout à causes des ces guerres intestines au sein des coalitions pour des positionnement individuel au détriment de l’objectif commun.
Et ainsi, Dieu Sauva encore une fois le Sénégal – Diam Rek !
PS – N’est-il pas plus indiqué de garder le même régime au pouvoir en attendant que la crise mondiale soit plus stable et que cette classe politique divisée soit mieux déterminée à porter la destinée du peuple sénégalais?
One love à tous mes concitoyens.
Plume Citoyenne
Marem KANTE
Lundi 11 octobre 2022.
One love à tous mes concitoyens.