Bouna le Sénégal s’apprête à faire face au Togo pour un match sans enjeu. Comment comptez-vous aborder cette rencontre?

On l aborde comme tous les matchs de qualification a la coupe du monde. Nous savons que il n y a plus d enjeu, parce qu’on est assuré d’être premier du groupe. Ce sont deux matchs important pour préparer la CAN.

Êtes vous satisfait de vos prestations après deux matchs avec l’équipe nationale du Sénégal?

Pour une première, ce n’est pas mal. Après, je sais que je peux mieux faire. C’est à moi de m’adapter. Je suis content que ce rassemblement puisse venir rapidement après le premier. Je continue à prendre mes marques. Je sais que, je peux apporter davantage à l’équipe.

Peut on dire que Bouna a déjà gagné sa place de titulaire sur le côté droit de la défense du Sénégal?

C’est au coach de le dire. Ce n’ est pas à moi de faire cette évaluation. En tout cas, il sait qu’ il peut compter sur moi. Je suis la pour jouer, être toujours au service de l’équipe. C’est le plus important.

Votre faible temp de jeu au Bayern inquiète beaucoup a deux mois de la CAN…

C’est normal de s’inquiéter. Moi le premier, je peux vous garantir qu’au Bayern, je fait le nécessaire même quant je joue pas, j’essaie toujours d’avoir un bon état de forme. Aujourd’hui, je suis en sélection, je suis a 100% pour aider l’équipe.

Face à d faible temps de jeu en club, pensez-vous pouvoir être à la hauteur a la CAN?

Oui, je pense bien. Comme je l ai dit, je fais le maximum pour garder un bon état de forme. Je travaille personnellement de mon côté. Je ne pense pas que je vais souffrir au niveau du rythme. Au contraire, je pense que je peux apporter de la fraîcheur à l’équipe.

Le fait de jouer régulièrement en sélection ne vous permet-il pas d’oublier un peu votre galère en club?

Oublier? C’est un grand mot. C’est un autre, contexte, c’est notre équipe. Je représente une nation, l’équipe nationale. Ce sont deux choses totalement différentes. Mais je suis persuadé que c est toujours bénéfique pour moi d’avoir du temps de jeu en sélection.

MOUSTAPHA SENE