4ans d’existence : Pape Amadou Sarr dresse un bilan satisfaisant à la Der
2018- 2022 ça fait 4 années que le président de la République a en place la Délégation d’Entreprenariat Rapide/ Femme jeune (DER/FJ) pour financer les jeunes et le femmes. En cette quatrième année le ministre délégué de DER Pape Amadou Sarr dresse un bilan satisfaisant.
Selon le ministre délégué de Der, le bilan on peut le dressé en quelques mots, 4ans d’entreprenariat au service des femmes et des jeunes Sénégal. 4 ans de programme que la Der a mise en place d’innovation, de recherche de développement, de cocréation, de partenariat, de mobilisation de ressources, de financements sur le terrain. Et 4 ans, la Der a changé des vies sur l’ensemble du territoire national. « C’est plus de 200 milles personnes financées, qui ont eu à toucher directement des crédits de DER/FJ, de plus petites crédits que nous avons qui est nano crédit au financement structuré de 1 jusqu’à 200 millions de Fcfa » a informé M. Sarr.
Dans le même sillage il a fait savoir que la Der a pu gagner le pari de la territorialisation et de l’inclusion. Elle est présente sur les 14 régions, les 45 départements et les 552 communes du Sénégal à travers les financements qu’ils ont octroyé depuis 2018. D’ailleurs il poursuit que quelques programmes ont été mis en place notamment le fonds de soutien à l’innovation et au numérique qui octroyé un peu plus de 3,8 milliards de crédits à plus de 230 Start up et PME numérique sur l’ensemble du territoire national.
Ainsi il martèle dans les perspectives la Der envisage avec des nouveaux programme comme diouni Gaïndés qui va accompagner des entrepreneurs qui vont être sélectionnés dans leurs porte feuilles à partir 5 à 10 millions de Fcfa pour leur permettre d’être accompagné, suivi , leur capacité renforcé, accompagné financièrement afin de les permettre de devenir de futurs champions. Mais également le programme digit PME qui concerne la digitalisation des PME dans le cadre du programme d’appui de valorisation , d’initiative entreprenariat(PAVI) qui est financé par L’Etat du Sénégal , la banque africaine de Développement et l’Agence Française de Développement afin d’accompagner les initiatives entreprenariats des femmes et des jeunes du pays dans les secteurs prioritaires du PSE que sont l’agriculture , l’élevage , la pêche , l’artisanat , le transport , le service et le numérique afin de véritablement de clore les entrepreneurs sénégalais et le secteur privé. Et le programme de jeune professionnel de la DER qui consiste à former, accompagné, incubé, donné de l’expérience à des jeunes sénégalais et étrangers. Mieux il indique que la Der veut avoir plus de 500 milliards par an pour mettre en place un programme de développement économique régional qui permettra d’accompagner l’ agriculture, la mécaniser, de la transformer, l’élevage avec des moyens conséquents pour la moderniser, les produits halieutiques pour la pêche.
Mais aussi industrialiser, mécaniser les productions dans les champs de riz, de mil et maïs, de fonio, de sorgho. De tout s’y ajoute la modernisation de l’artisanat sénégalais tailleurs cordonniers, mécaniciens, car étant convaincu que l’entreprenariat est un véritable outil de développement de l’entreprenariat pour mener le Sénégal vers l’émergence tant crier par les autorités horizon 2035. Cependant malgré ce bilan satisfaisant, il a fait savoir qu’il y’a des limites comme les insuffisances en termes d’obtention de ressources financières adaptées aux demandes. « Nous en sommes un peu plus de 400 milles à 500 milles demandes pour plus de 300 milliards de demandes de crédits sur le plateforme sans compter les autres demandes qui arrivent chaque jour et nous faisions de frustrés, nous avons pris en compte les 20% de la demande globale, les autres 80% sont laissés pour contre et ont besoin de financements c’est les craintes. Nous espérons avec l’Etat du Sénégal et les partenaires nous obtiendrons les moyens financiers afin de répondre les demandes de toutes les sénégalais et les sénégalais entrepreneurs qui vient vers nous » note M. Sarr.
En ce qui concerne les 4 P qui ont été lancé au courant de l’année 2020, Papa Amadou Sarr renseigne que ça existé toujours «Les 4 P sont toujours là (préfet, police, procureur prison) et fait partie du vocabulaire de la Der. Ça fait partir des outils que nous avons afin de couvrir les ressources d’un meilleur délai pour pouvoir financer d’autres personnes. Un prêt doit se rembourser, il y’a des gens qui pensent les ressources publiques ne sommes pas remboursables. Nous mettons en relation avec ces personnes les autorités administratives, judiciaires compétent afin de nous aider à recouvrir ces ressources par tous les moyens ».
Ramatoulaye