« La sacralité de la continuité du service et de la liberté de travail est bafouée, la dignité humaine mise en rude épreuve et l’outil de travail fragilisé, rendant précaire la situation de notre entreprise. La volonté de refus exige un appel au bon sens et responsabilité de tout doit commandé la liberté de chacun » c’est l’avis d’Amadou Dème porte-parole du cadre Unitaire des syndicats de poste. En constatant  les faits qui se sont déroulés au sein de la boite comme les attaques personnelles de leur directeur général, les attaques sur leurs camarades du SYNAP lors de leur point de presse, la rupture de contrat avec l’IPRES, Amadou Dème condamne les sorties hasardeuses, l’engrenage de la violence, les grèves sans préavis et le abandon de poste et le départ massif des leurs clients.

A ce titre le porte-parole CUSP appelle tous les travailleurs, sans distinction, à une attitude plus responsables pour un nouvel équilibre institutionnel, dans un esprit de collaboration et de concertation et par le biais de modalités partenariales. Par ailleurs il demande à l’Etat d’accompagner davantage la poste dans cette étape cruciale dans la vile de leur entreprise. Mais aussi il demande au directeur général, de mettre en place, un observatoire de veille et d’alerte pour un dialogue social axé sur la construction d’accords conciliants et de consensus dynamiques. Il sollicite l’IPRES de continuer à faire confiance à la poste qui a l’habitude de paiements de masse et qui a toujours assuré une bonne qualité de services des retraités. Dans le même sillage il lance un appel à tous les travailleurs en les exhortant à un changement de paradigmes, parce que face  à une concurrence déloyale de plus en  plus en rude et face ç une clientèle avec de nouveaux besoins et de nouveaux droits ; doit répondre une prise en charge faite d’écoute, de proximité, d’anticipation et surtout de quiétude et de paix.

Ramatoulaye