Ousmane Sonko, leadeur de Pastef–Les Patriotes, en a informé  l’opinion nationale et internationale, d’une “tentative d’assassinat“, dont il a été victime pendant les malheureux évènements du 16 Mars 2023.

Ainsi, les quotidiens du jour reviennent, dans leur globalité, sur ces graves “allégations“ faites par le maire de Ziguinchor.  Selon le quotidien “EnQuête“, le leadeur de Pastef–Les Patriotes “maintient“ les accusations de “tentative d’assassinat“ sur sa personne.

“Suite et pas fin de l’affaire de la tentative d’assassinat dont serait victime Ousmane Sonko le 16 Mars 2023. Le leadeur de Pastef–Les Patriotes a confirmé ses accusations, hier mercredi 26 Avril. Dans un message relayé sur les réseaux sociaux, le maire de Ziguinchor a fait savoir que, désormais, il dispose des résultats d’analyses +demandées auprès de laboratoires à l’étranger+. Ceci, pour assurer que +les résultats confirment bien la “tentative d’assassinat“ sur ma personne, perpétrée par des éléments des Forces de défense et de sécurité+“, a écrit le journal.

Dans la même veine, le quotidien renchérira : « Ousmane Sonko n’a pas divulgué plus de détails. Il a plutôt donné rendez–vous, très bientôt, dans le cadre d’une conférence de presse portant sur ce point et sur bien d’autres ».

Concernant le quotidien “Bès Bi–Le Jour“, il relate : « Ousmane Sonko annonce ses preuves pour +tentative d’assassinat+ » et qui rappelle, dans la lancée, que « le 16 Mars dernier, depuis la clinique “Suma Assistance“, où il recevait des soins, le leadeur de Pastef avait affirmé s’être senti mal, à cause du gaz lacrymogène envoyé par les Forces de l’ordre lors de son transfert forcé vers le Tribunal de Dakar, pour son “procès en diffamation“ avec Mame Mbaye Niang. Ousmane Sonko et son entourage avaient agité la thèse d’une +tentative d’assassinat+. Dans son live, il avait indiqué que les Forces de l’ordre lui avaient aspergé un liquide à bout portant ».

« Ousmane Sonko dit avoir bel et bien échappé à une “tentative d’assassinat“. Il l’a fait savoir, hier, dans une publication sur sa page Facebook. Et comme +preuve+, le leadeur des “Patriotes“ a brandi les résultats des examens effectués sur ses habits, au lendemain des événements du 16 Mars », a fait constater “Source A“.

Selon “Libération“, « Sonko persiste et signe ! », alors que du côté de “Vox Populi“, il est écrit que « Sonko annonce la disponibilité  des résultats d’analyse qui +confirment bien la “tentative d’assassina“t sur (sa) personne, perpétrée par des éléments des FDS (Forces de défense et de sécurité) ».

« Sonko dénonce une +tentative d’assassinat+ », a barré, à sa Une, “Le Témoin“, qui a rappelé : « La polémique sur le liquide qui aurait été versé sur le leadeur de Pastef le 16 Mars dernier connaît un rebondissement ! En effet, commentant les résultats des analyses faites sur ses habits, Ousmane Sonko a soutenu hier qu’il s’agissait bel et bien d’une tentative d’assassinat sur sa personne ».

Le quotidien “EnQuête“ s’intéresse au Conseil Économique, Social & Environnemental et parle d’une « Institution chahutée ». A vrai dire, “avec un budget qui tourne annuellement autour de 7 milliards de francs CFA, le CESE (Conseil Économique, Social & Environnemental), pour beaucoup de Sénégalais, est juste une “Institution de plus“, qui ne sert qu’à caser une certaine “clientèle politique“. « Pourtant, de par sa “riche composition“, l’Institution a tout pour être un excellent levier de développement », a tout de même souligné le journal.

« Des quatre Institutions que compte la République, c’est sans doute la plus instable ! Dans un intervalle de moins de cinq ans, le CESE (Conseil Économique, Social & Environnemental) aura connu quatre présidents, soit en moyenne un peu plus d’un an pour chaque président », a abordé, au détail–près, la publication.

« Si la première présidente, Aminata Tall, a réussi la prouesse de passer, environ sept ans à la tête de l’Institution, aucun de ses successeurs n’aura réussi à atteindre la barre des deux ans de longévité. Alors qu’Aminata Touré a été nommée en Mai 2019, pour être limogée en Novembre 2020, soit 18 mois, pour sa part, Idrissa Seck a été nommé en Novembre 2019 pour être limogé après seulement 17 mois », a détaillé “EnQuête“.

Quant à “Le Soleil“, le journal a jugé opportun de revenir sur le communiqué du Conseil des ministres et se fait une idée à propos des “directives du Chef de l’État“ concernant le recensement général, l’entretien routier, la formation professionnelle, la Fonction publique, etc.