Denis NDOUR, Vice-président de la LSDH (Ligue sénégalaise des Droits de L’Homme), a instamment souligné des manquements concernant le parrainage optionnel, qu’il a daigné juger « antidémocratique ».

En effet, cette remarque a été faite en l’occasion de la rencontre organisée par la DGE (Direction Générale des Élections) pour initier depuis hier, jeudi 07 Décembre, via un atelier, la Société civile sur le dépôt des dossiers de candidatures et sur la Constitution, en direction de la Présidentielle du dimanche 25 Février 2024.

« Pour moi, c’est un peu antidémocratique pour des raisons techniques de doublons, la personne avec une bonne intention de faire ce parrainage populaire se retrouve recalé sur des questions techniques alors qu’il a une deuxième possibilité et qu’on le bloque en disant que c’est une décision irréversible. Pour moi, c’est antidémocratique », en a directement apprécié Denis NDOUR, Vice-président de la LSDH.

Après la formation sur la Constitution et sur le dépôt des dossiers de candidatures, via la diligence des mandataires des Partis politiques, des coalitions de Partis politiques légalement constitués, de personnalités indépendantes et autres professionnels des Médias, Birame SENE – Directeur de la Formation et de la Communication à la DGE – a annoncé une formation au niveau des régions et dans la Diaspora en ce qui concerne l’organisation et le fonctionnement d’un bureau de vote.