En effet, l’organisation syndicale revient à la charge, en dénonçant, avec vigueur, la mise aux arrêts des enseignants lors des évènements politico-judiciaires du mois de Mars.

Ainsi, le Cusems/A a instamment exigé la « libération de tous les camarades enseignants arbitrairement arrêtés, l’enlèvement de tous les bracelets électroniques posés sur les pieds des enseignants, le reversement sans condition de tous les MEPS, l’éradication du statut des décisionnaires », a rapporté “Sud Quotidien“, dans sa livraison du jour.

En tout état de cause, Dame MBODJI et ses camarades réclament également « l’équité salariale dans le traitement des agents de l’Etat, la formation de tous les PC endurcies, la mobilité nationale et le démarrage de la formation des chargés de cours ».

Dans le chapitre des revendications, il y est aussi clairement stipulé « la “régularisation de tous les 5.000 enseignants“ et la “dématérialisation et l’allègement des procédures administratives“, ainsi que “l’apurement de tout le passif des rappels“ ».