Le groupe Mimran, via Jean Claude Mimran et Mamadou Diagna Ndiaye, cités comme parties prenantes dans l’exploitation d’une Mine de diamant qui se situerait dans une région du Nord du Sénégal, vient d’apporter un cinglant démenti. 

Ainsi, dans son démenti, le groupe Mimran d’ « allégations mensongères qui ne reposent sur aucun fait matériel avéré ».

À en croire l’entreprise, « il n’existe aucune Mine de diamants au Sénégal, encore moins au Nord où la contexture géomorphologique des terres n’est pas diamantifère ».

« Lieux encore…, a instamment renseigné Mimran…, « la société qu’il prétend être attributaire de “ l’autorisation de prospection “ et dont le propriétaire serait Jean Claude Mimran n’est même pas connue du Registre minier du Sénégal ».

Toutefois, la société dirigée par Jean Claude Mimran a tenu à rappeler ce qui suit :

« À ce jour, il n’existe que 2 sociétés bénéficiant de permis de recherche de diamant, 2SH et ICT dans lesquelles Jean Claude Mimran n’a aucune forme de participation ».

D’ailleurs, ils ont également précisé qu’il s’agit-là « d’informations officielles disponibles auprès du Ministère des Mines et accessibles à quiconque aimerait investiguer de bonne foi ».

Évoquant les documents brandis par l’accusateur, le groupe Mimran a ainsi opposé :

« Pour  convaincre son auditoire, Maître DIOP s’est livré également, avec emphase, à la lecture et à des commentaires de “ correspondances “ qu’auraient échangées les parties et qu’il prétend détenir comme preuves ».

Sur ce chapitre des « courriers imaginaires », le Groupe a précisé que, « M Jean Claude Mimran n’a jamais échangé de correspondances avec Monsieur ALY NGOUILLE NDIAYE sur ce sujet »..

En vérité, a renchéri l’entreprise, « les diamants de Maître Moussa DIOP sont à rechercher dans une mine de mensonges bruts, qu’il exploite à des fins politiciennes ».

Pour Mimran, Me Moussa Diop manque d’inspiration.

« Drôle d’histoire que cette légende d’exploitation de diamant. Ce doit être l’œuvre d’un contrefacteur en manque d’inspiration pour s’être fourvoyé aussi imprudemment dans la terminologie du lexique administratif en usage. »

Le Groupe MIMRAN prévient dans sa note « qu’il ne saurait avaliser les mensonges à l’endroit de ses dirigeants dans un contexte de compétitions politiques où certains acteurs misent sur la diffusion de fausses nouvelles pour arriver à leurs fins. »

Par conséquent, « il se réserve le droit d’user des procédures légales idoines pour faire face à tout acte attentatoire à son honneur et à sa crédibilité, qui sont les fondements de ses missions depuis plus de 50 ans », a conclu le groupe Mimran.