Dépenses de sécurité : «Le Sénégal plaide pour…»
«Le Sénégal plaide pour qu’on exclue, pour un temps, les dépenses de sécurité», telle est la vonlonté du ministre de l’Economie Amadou Hott. Ce, du fait de leur importance dans un contexte de grande insécurité.
Il présidait la cérémonie de lancement de la troisième conférence internationale sur la Francophonie économique. Son message semble être dirigé vers les institutions financières comme le Fmi.
Le ministre de l’Economie Amadou Hott explique que la paix et la stabilité n’ont pas de prix. Mais, elles ont un cout. Et aujourd’hui, certains pays du sahel mettent plus de 2 à 3% de leur PIB dans les dépenses militaires et sécuritaires.
D’autres vont jusqu’à 25% du PIB. Il a, ainsi appelé les pays de la francophonie à renforcer leur coopération dans ce secteur afin d’assurer la paix et la sécurité dans la zone.