(Document) – “Sweet Beauty Spa“ : L’Ordre des médecins somme l’État d’assurer la protection de leur collègue, Dr Alphousseyni GAYE
L’Ordre national des Médecins du Sénégal (ONMS) est sorti de sa réserve, pour attirer l’attention sur la situation que vit leur collègue, le Docteur Alphousseyni GAYE, gynécologiste qui avait ausculté Adji R. SARR après ses gravissimes accusations sur le leadeur de PASTEF, Ousmane SONKO. Ainsi donc, acté le communiqué du Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES), ces membres de l’Ordre professionnel de la Médecine au SÉNÉGAL se sont fendus d’un communiqué, dans lequel ils disent “ apporter leur soutien à leur collègue Dr Alphousseyni GAYE… “.
Le Spécialiste en Gynécologie-obstétrique a affirmé, dans une entrevue accordée à notre confrère Babacar TOURÉ “Mandjou“, patron de Kewoulo TV, avoir été victime “ d’actes d’intimidation répétés depuis le démarrage de la procédure judiciaire de l’affaire de la masseuse Adji Sarr “.
De ce fait, alors qu’il a seulement été saisi, il y a près de 2 ans maintenant, pour “ un avis médical sur cette affaire pendante devant la Justice “, ces professionnels ont jugé opportun de voler au secours de leur collègue. Mis à part ce soutien de taille, ses amis–médecins comptent aussi l’accompagner « dans toutes les actions qu’il sera nécessaire de mener ». Selon le président de l’Ordre national des médecins, Dr Boly DIOP, le gynécologiste, en poste à l’Hôpital Général Idrissa POUYE de Grand–Yoff (HOGIP) bénéficie, depuis le début de l’éclatement de cette affaire, de l’infaillible assistance de ses collègues de l’Ordre professionnel.
« Il a été même reçu à son siège à plusieurs reprises », a–t–il tenu à rappeler. A l’instar de ses camarades du SAMES, les médecins de l’Ordre demandent à l’État d’assurer sécurité & protection à cet « expert assermenté, dûment réquisitionné pour les besoins d’une enquête ».
De plus, l’Ordre national des médecins du SÉNÉGAL appelle à la retenue dans les propos et les agissements. Dr Boly DIOP et Cie disent surtout rester sereins quant à la suite de la procédure judiciaire en cours. D’ailleurs, ils déclarent que des actions concrètes sont en cours pour assurer à leur confrère un environnement adéquat pour la pratique de son art.
Par–dessus le marché, tout se fera dans les règles de l’art & conformément aux dispositions de l’article 4 du Code de Déontologie médicale, qui prévoient qu’ « en aucun cas, le médecin ne doit exercer sa profession dans des conditions qui puissent compromettre la qualité des soins et des actes médicaux », rappelle le communiqué de l’ONMS ; repris par “Le Témoin“, qui souligne également que : « Le Directeur de la Santé publique est habilité à s’assurer des conditions dans lesquelles sont effectuées les soins et les actes médicaux… »