Pikine – Cas de viol : Un maçon a été pris sur le fait au moment où il montait sur une déficiente mentale
Un crime libidineux commis sur une personne vulnérable suscite l’indignation à Pikine. En effet, un maçon a été surpris en train de violer une déficiente mentale. Ainsi, le présumé violeur a été neutralisé et livré à la Police nationale par un enseignant.
Voici les détails d’une dégoûtante affaire de mœurs…!
Le réveil a été brutal pour A. THIOUB ! En effet, le sommeil de cet enseignant a été perturbé dans la nuit du lundi dernier, par les gémissements et les cris d’une dame. Sur ces entrefaites, le quinquagénaire est tombé des nues, lorsqu’il est sorti de son domicile pour s’enquérir de la situation : l’instituteur a surpris un maçon qui satisfaisait sa libido sur une déficiente mentale.
Ayant senti la présence du sieur THIOUB, le mis en cause a tenté de prendre ses jambes à son cou ; mais c’était sans compter avec la détermination de M. THIOUB. Donc, il sera heureusement interpellé à l’issue d’une longue course-poursuite. Puis, l’enseignant a livré le prédateur sexuel aux éléments du Commissariat de Pikine, lundi dernier vers 6h du matin. Dans la lancée, le témoin oculaire a retracé les faits dans les moindres détails !
« Les cris et les gémissements d’une dame ont attiré mon attention vers 4 h. Lorsque j’ai ouvert ma fenêtre pour m’enquérir de la situation, j’ai aperçu le mis en cause entre les jambes de la victime », a confesse l’enseignant sur procès-verbal, le cœur meurtri !
Les insoutenables aveux du présumé violeur…
Interrogé par les hommes du Commissaire Mame Arona BÂ, G. SARR a reconnu partiellement les faits. Âgé de 53 ans, il a fait croire aux enquêteurs que la déficiente mentale lui a proposé de coucher avec elle.
« À ma descente de travail, j’ai rencontré la déficiente mentale à Tally Bou Mack. Elle m’a demandé de lui trouver à manger. J’ai acheté des bananes pour elle », a–t–il voulu faire croire.
Poursuivant et prenant ses vis–à–vis pour des demeurés, le mis en cause a déclaré que la dame a tenté de coucher avec lui, de force.
« Pour lui échapper, j’ai demandé à la dame de me permettre d’aller uriner avant tout. Mais, elle a crié en disant qu’elle est en train d’abuser sexuellement, lorsque j’ai ouvert ma braguette pour uriner », a–t–il tenté de faire croire aux hommes du Commissaire BÂ.
À l’issue de l’interrogatoire rondement fait, G. SARR a été placé en position de garde–à–vue pour « viol sur une déficiente mentale », a rapporté Seneweb.
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