Mise en place de la charte de la paix : le 3eme mandat divise la société civile

Considéré par certains, comme l’arbitre du démocratique, la société civile sénégalaise semble se perdre dans sa mission. En tout cas, les acteurs ne parlent plus le même langage et certains, dépités par le comportement d’autres, commencent à quitter le cadre devant le servir à les regrouper.
Noo Lank a sorti un communiqué pour se démarqué de ma démarche de l’autre côté de la société civile l’accusant de manquer de réalisme et de remettre en question leur engagement jouer le rôle d’arbitre du jeu politique « le collectif Noo Lank, après avoir discuté avec les organisations de la société civile, a décidé de s’écarter de leur approche qui manque de réalisme et remet en question leur engagement à jouer le rôle d’arbitre du jeu politique »a accusé le collectif citoyen
Le point de discorde
Le collectif explique sa décision par le refus des acteurs d’inscrire dans la charte de la paix le principe élémentaire de la non candidature du président Macky Sall en 2024 « dans le cadre de ces échanges pour structurer les principes d’une charte applicable jusqu’en 2024, le collectif a développé , insisté et réitéré que les acteurs de la société civile qui veulent porter la charte de la paix affirment dans celle-ci le principe élémentaire de la non candidature du président Macky Sall 2024 , puisque le niveau actuel des violences dans l’arène politique et leurs occurrences multiformes est déterminé par une source principale : le forcing d’un troisième candidature » a fait savoir Noo Lank
Ramatoulaye