Gestion du Foncier sénégalais : Voici des propositions du Consortium pour la Recherche économique et sociale !

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Le problème du Foncier sénégalais est, depuis quelques temps, au cœur de nombreux débats.

Les derniers rapports révèlent un “tong tong” inhumain de certains membres de l’ancien régime.

Le RES (Le Consortium pour la Recherche économique et sociale ) a exhaustivement abordé la problématique du Foncier sénégalais.

Des structures comme la SAPCO (Société d’Aménagement et Promotion des Côtes et Zones touristiques du Sénégal), l’Agence d’aménagement et de promotion des sites industriels ou la DSCOS (Direction de la Surveillance et du Contrôle de l’Occupation du Sol)  sont bien mises en place pour « veiller à la gestion et à l’occupation du domaine public et du Foncier sénégalais ».

Évoquant la SAPCO, le Consortium relève que « les zones dites industrielles doivent êtres, dans l’ensemble du territoire national, être immatriculées au nom de l’État et, éventuellement, faire l’objet d’une cessation définitive à des investisseurs nationaux ou étrangers ou simplement, être mis en bail ».

Au niveau de la Petite-Côte, le RES a aussi rappelé que « la relance des activités touristiques a été orientée vers le renforcement de la sécurisation juridique des détenteurs de sous-baux de la SAPCO à Saly Portudal ».

Magnifiant, à sa juste valeur, l’initiative de l’APROSI (Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones Touristiques du Sénégal), le Consortium a indiqué que « le développement industriel est un levier important sur lequel le Sénégal devra s’appuyer pour réaliser ses objectifs en termes de développement humain, économique et social ».

Rappelant la mission intégratrice de l’APROSI, notamment sur le plan communautaire, le rapport soutient que la structure devra également trouver la solution aux difficultés que rencontre l’investisseur pour trouver des espaces aménagés et des locaux industriels adéquats. Contrairement à la SAPCO et à l’APROSI, la DSCOS connait des « limites ».

Selon le Consortium, elle (DSCOS) n’est pas présente sur tout le territoire national.

« Force est de constater que la DSCOS n’a, pour le moment, pas réduit le volume des litiges fonciers devant les Cours et Tribunaux », a ajouté ledit rapport, tout en rappelant les missions de l’unité de la Gendarmerie.

 

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