Formation d’ingénieure : EPF ouvre ses portes à Dakar

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L’École Polytechnique Féminine EPF  a ouvert son campus à Dakar. Selon le Directeur général Jean Michel Nicol, cette ouverture au Sénégal c’est pour participer à la croissance économique Sénégalaise à travers la formation.

C’est en présence des étudiants que l’École Polytechnique Féminine (EPF) a ouvert définitivement ses portes au Sénégal. Pour Jean Michel Nicol, le Directeur général, Epf est une école d’ingénieurs publique en France. « C’est une école qui s’est implantée sur plusieurs zones du territoire français. C’est une école qui s’est toujours, dans son histoire, tournée vers les grands défis du monde de demain. L’École Polytechnique Féminine fondée en 1925 pour que les jeunes femmes accèdent à la formation d’ingénierie », poursuit –il.

D’ailleurs M. Nicol a fait savoir que l’avenir se passera en Afrique : «  Nous savons que l’avenir se passera en Afrique et c’est un continent du futur. Nous préparons le futur. Étant un campus ici à Dakar, pour porter les formations qui existent en France, et nous apportons des solutions à la jeunesse d’aujourd’hui africaine et aux jeunes étudiants français qui veulent étudier en Afrique ».  Pour le choix d’ouvrir un campus sur la capitale sénégalaise, Jean Michel Nicol indique que c’est une histoire personnelle, d’autant plus qu’il a vécu à Dakar durant plusieurs années. De même, il ajoute que c’est une manière de revenir dans un continent dont il a  appréciait les qualités, les potentiels; et dans sa vie professionnelle, rendre la monnaie. «  Nous formons des ingénieurs généralistes parce que le monde  est complexe. Il y’a d’excellentes universités au Sénégal avec des formations de qualités », informe-t-il.

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« Le Sénégal est en forte croissance d’ingénieurs. Il suffit de regarder le Plan Sénégal Emergent (PSE), le Plan Sénégal Numérique pour comprendre que la croissance économique industrielle qui attend le Sénégal est extrêmement rapide, en particulier grâce à ses ressources naturelles qui seraient portés demain. Le problème c’est à avoir demain une compétence pour accompagner les compétences. Il n’y a pas assez d’ingénieurs en Europe, ni au Sénégal donc il faut des formations pour un meilleur futur », conclut M. Nicol.

 

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