A peine 100 jours à la tête de L’Etat, plus de 100 bonnes mesures en cours de réalisation, et déjà la nouvelle opposition s’agite compulsivement, cherchant désespérément à survivre après sa cinglante déroute, dès le premier tour, lors des élections présidentielles passées.

Jusqu’à présent, les morpions, marrons-beiges, prétentieux, pensent qu’ils gouvernent encore ce pays par l’Assemblée Nationale qu’ils ont usurpée.
Faut-il encore leur rappeler, que les destinées du Sénégal sont aujourd’hui confiées au président Bassirou Diomaye Dakar FAYE avec le génie politique de celui que j’appelle affectueusement l’Ouragan, son cousin germain, le président du parti Pastef, le Président Ousmane SONKO, qui a fait don de sa personne pour faire triompher « le Projet » et délier le Sénégal et les sénégalais ?.

Cette nouvelle opposition, atteinte brusquement d’une « cécité politique » ou d’un « daltonisme gouvernemental » ou même d’une « démence républicaine » ne peut quand-même, pas, en si peu de temps, oublier toutes atrocités qu’elle a faites au peuple sénégalais en :
– Consacrant toute la durée de ses 12 ans de règne à anéantir de l’opposant (Ousmane SONKO et Pastef),
– Faire la fortune de sa famille au sens sicilien du terme (Parti) au détriment de la patrie,
– Bradant les matières premières de ce pays à des prix léonins contre des rétro-commissions (affaire Frank TIMIS) ,
– Emprisonnant , maltraitant, torturer et tuant des milliers de sénégalais…
– Fermant des universités, pour ouvrir des prisons,
– Sabotant l’agriculture, l’élevage et la pêche pour promouvoir l’exode rural et l’émigration clandestine « Barsa wala Barsak »,
– Détournant sauvagement les deniers publics (affaire Prodac, Fonds Force COVID…..)
– Fragilisant des FDS par des actes mafieux (affaire Fulbert SAMBOU et Didier BADJI, affaire Capitaine TOURE …).
…Et toute une journée ne suffirait pas à citer les torts, humains, économiques, sociaux, culturels… causés au peuple sénégalais.

Pourtant, malgré toutes leurs manœuvres mises en œuvre avec le soutien aveugle de l’appareil d’Etat pour couvrir et justifier leurs dérives autoritaires et leur mal gouvernance, les sénégalais ont adoube le « PROJET » qui en moins de 100 J1ours a mis en réalisation :
– L’eau ramenée dans plusieurs quartiers de Touba,
– La baisse des prix des denrées de première nécessité (riz, pain, huile, sucre),
– Le paiement des arriérés de bourses des étudiants,
– le paiement des arriérés des dettes des hôpitaux,
– le paiement des bourses de sécurité familiale,
– la vente des engrais et des semences à des prix non usuraire et de meilleure qualité,
– Le convoiement des semences et des engrais par les FDS réhabiltées pour plus de transparence,
– L’assurance de prix justes, du confort et de la sécurité aux voyageurs de la Tabaski
– L’oriention de tous les bacheliers dès le mois d’août (jusque-là partiellemnt orientés en janvier ou février soit 6 mois après le bac),
– La numérisation des extraits de naissance
– La tenue des assises de la justice avec ses 30 points de consensus pour la réconcilier avec les justiciables
– …..
Et après de tout ce qui a été réalisé en 100 jours, cette opposition autoproclamée, par le biais d’une presse domestiquée, veut être nihilistes au point d’inventer des failles dans la gestion en cours ?
Si elle veut survivre à sa lourde défaite et ses actes monstrueux, elle doit se comporter en opposition de qualité en donnant des arguments précis et clairs dans ses critiques au lieu d’adopter des postures erratiques, car, nous avons besoin d’une opposition pour entendre des voix et positions critiques.

Certes,les sénégalais ne vont pas oublier de sitôt tout le mal qu’ils ont vécu dans leur chair avec leur gouvernance économiquement chaotique et socialement meurtrière.
Si elle suit sa logique actuelle, beaucoup de ses membres n’auront plus le loisir de faire des « lapsus » sur le plan judiciaire ni de faire annuler le Débat d’Orientation Budgétaire qui est une recommandation forte de l’UEMOA transposée dans la loi organique 2020-07 du 26 février 2020 relative aux lois de finances.
Mais cela ne nous surprend guère venant d’elle, c’est pourquoi le Premier Ministre Ousmane SONKO devrait peut-être suivre cette boutade de Henri QUEUILLE qui martèle : « la politique, ce n’est pas de résoudre les problèmes, mais de faire taire ceux qui les posent ».

Cette opposition, essentiellement portée par des média aux ordres doit enfin connaitre avec exactitude la limite que son intelligence atrophiée impose à sa moralité pour paraphraser Edouard Herriot.
PASTEF a un projet, une vision et veut accomplir cette mission avec enthousiasme, abnégation et don de soi pour la patrie.
Oui, nous avons une vision mais ce n’est pas une vision qui ne s’accompagne pas d’actions car notre quête de prendre les destinées de ce pays, pour qu’il connaisse, enfin, le développement est réalisé par le choix sans fioriture des sénégalais.
Oui, nous avons une vision, une vision qui nous a menés a beaucoup d’actions car nous n’avons pas perdu notre temps.
Oui, nous avons une vision, une vision suivie d’actions qui va changer le Sénégal, l’Afrique, le Monde.

Notre patrie est au-dessus de tous, soyons patriotes dans l’âme et dans le cœur pour permettre au Président Bassirou D D FAYE et son premier Ministre Ousmane SONKO de faire une gouvernance inclusive, sobre, vertueuse basée sur l’amour de la patrie.
Ils ont le choix d’être de vrais opposants constructifs dans leurs critiques et participatifs dans les moments cruciaux de la vie de ce Grand pays qui nous appartient à nous tous, ou de se confiner dans des positions et postures de vulgaires hâbleurs souvent mythomanes et effarés.
qu’ils ne suivent surtout pas Ernest Benn qui disait que : « la politique est l’art de chercher des ennuis, de les trouver, d’en donner un diagnostic erroné, puis d’appliquer les mauvais remèdes ».

Samba DANG
Député a l’assemblée nationale
Président du réseau des parlementaires pour l’éducation et la formation
Coordonnateur départemental de Pastef Mbirkilane
Charge de Formation au Daara Cheick Anta Diop / Zone centre